Me revoici à Toulouse avec le parking Victor Hugo. Déjà publié sur ce blog le 3 novembre 2007, je ne peux m'empêcher de vous montrer cette nouvelle acquisition.
Comment ne pas trouver cette forme remarquable ? Comment ne pas jubiler à la ligne noire qui fend la blancheur du béton ?
Comment ne pas voir dans ces ellipses, pyramidions, rayures déterminés par le contraste du noir et blanc le plaisir d'un dessin radical qui devait peu ou prou ressembler à la construction ?
Je crois qu'il s'agit là d'un dessin construit d'une pureté formelle déterminée non pas tant par la fonction que par l'allure du graphisme. Ici c'est le dessin qui fut traduit en forme, tout part du rêve de ce point de vue.
Faire vibrer le fond de l'œil comme une œuvre d'Op'Art. Puisqu'il faut garer les voitures garons les et dans les courbes de la tour faisons crisser les pneus. Les yeux ravis derrière le pare-brise de la Dauphine, les ombres feront trembler la façade.
La carte postale est une édition "Pyr. Océan" envoyée en 1960.
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