Moi, je ne danse pas.
Je veux dire jamais.
Même sous les ordres des étudiants aux soirées discos et bruyantes, je ne danse pas.
Patrick danse, il danse rarement aux soirées discos et bruyantes.
Vous connaissez Patrick Gaïaudo, il est l'un des grands donateurs de ce blog. Il aime l'architecture et il en parle mais surtout lui il danse cet espace public, il le pratique étrangement avec d'autres en bougeant autrement que moi.
Je ne sais pas si vous dansez comme ça, moi non. Je ne sais pas si vous utilisez l'architecture comme ça, moi non.
Je crois qu'il y a chez les danseurs surtout une connaissance parfaite du poids. La pesanteur accusée, maîtrisée et consciente alimentée par un corps dont chaque articulation sert à le plier et à le connecter. Tête contre tête comme des siamois souples.
Alors je vous invite à aller sur son site pour comprendre un peu mieux ce que je vous raconte.
Contact.
http://www.non-ora-non-qui.org/
Et puis ne pas oublier que les architectes, certains, aiment les danseurs. Ils aimeraient surtout croire que les escaliers, les pentes, les estrades, les fenêtres puissent nous aider à une mobilité, voire une promenade. Ils pensent à raison que c'est avec et parfois contre notre corps qu'il faut construire (ce que le corps contient d'habitudes). Lire Claude Parent pour comprendre cette lutte contre les murs.
J'aimerais arpenter parfois l'architecture comme les yamakasi. Oui, si techniques et physiques. Une puissance contre les vides.
Parfois je m'autorise à grimper sur la rampe d'un escalier, c'est tout.
Je veux dire jamais.
Même sous les ordres des étudiants aux soirées discos et bruyantes, je ne danse pas.
Patrick danse, il danse rarement aux soirées discos et bruyantes.
Vous connaissez Patrick Gaïaudo, il est l'un des grands donateurs de ce blog. Il aime l'architecture et il en parle mais surtout lui il danse cet espace public, il le pratique étrangement avec d'autres en bougeant autrement que moi.
Je ne sais pas si vous dansez comme ça, moi non. Je ne sais pas si vous utilisez l'architecture comme ça, moi non.
Je crois qu'il y a chez les danseurs surtout une connaissance parfaite du poids. La pesanteur accusée, maîtrisée et consciente alimentée par un corps dont chaque articulation sert à le plier et à le connecter. Tête contre tête comme des siamois souples.
Alors je vous invite à aller sur son site pour comprendre un peu mieux ce que je vous raconte.
Contact.
http://www.non-ora-non-qui.org/
Et puis ne pas oublier que les architectes, certains, aiment les danseurs. Ils aimeraient surtout croire que les escaliers, les pentes, les estrades, les fenêtres puissent nous aider à une mobilité, voire une promenade. Ils pensent à raison que c'est avec et parfois contre notre corps qu'il faut construire (ce que le corps contient d'habitudes). Lire Claude Parent pour comprendre cette lutte contre les murs.
J'aimerais arpenter parfois l'architecture comme les yamakasi. Oui, si techniques et physiques. Une puissance contre les vides.
Parfois je m'autorise à grimper sur la rampe d'un escalier, c'est tout.
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